La Face cachée
de la bio-électronique
Jacques Collin, qui fut l’un de nos intervenants au cours du CinéForum 2009sur le thème de l’eau, nous fait l’amitié de nous communiquer un articles’inscrivant dans l’approche de la bio-électronique de Vincent.
La bioélectronique nous apporte un nouvel éclairage sur le fonctionnement de notre corps. Elle nous apprend que toutes les fonctions physico-chimiques de l’organisme sont commandées par des forces électriques et électroniques dont le support et le vecteur essentiels sont l’eau.
La résultante de cette réflexion nous ouvre une vision nouvelle de l’organisation biologique de la matière vivante et de notre corps en particulier que la médecine matérialiste et allopathique n’a toujours pas pris en considération.
D’abord, pourquoi notre médecine officielle et institutionnalisée (Conseil de l’Ordre) s’est-elle fourvoyée dans une impasse à la fois intellectuelle, éthique et technique ?
Cette médecine est celle de l’observation et des constats très physiques du fonctionnement de notre corps. Sa pensée est issue de la science expérimentale du XIX° siècle. Elle regarde l’image du téléviseur, mais ne connaît rien au fonctionnement électronique de celui-ci. Elle regarde « le corps qu’on a, mais pas le corps qu’on est ». Elle cherche le sens de ses découvertes, sans prendre en compte l’essence. Elle démonte notre corps en pièce détachée par des spécialisations à outrance, elle divise mais ne rassemble pas.
Cela amène la réflexion a une effroyable complexité dans l’analyse de l’observation et aucune sommité scientifique ou médicale n’est capable maintenant de rassembler les morceaux du puzzle. La médecine ne voit notre corps qu’à travers les meurtrières de la citadelle qu’elle s’est construite.
Il est impossible de gérer et d’ordonnancer le fonctionnement et l’intelligence d’un organisme qui activent 6 à 8 milliards de réactions physico-chimiques, métaboliques et enzymatiques par seconde en ciblant pour une maladie telle ou telle réaction. Toutes ces réactions moléculaires et atomiques sont corrélées et interdépendantes. Elles sont reliées entre elles d’une façon intime et immédiate. « Chaque clé trouve sa serrure instantanément parmi des milliards d’autres. Non seulement la science médicale n’a jamais cherché a comprendre et a expliquer ce phénomène, mais ne s’est toujours pas posée la question. » (conférence Jacques Benveniste).
L’étude de la biologie moléculaire est obsolète. Ces molécules chimiques, pour la plupart de synthèse, que nous absorbons à travers des médications compliquées, le corps ne les reconnaît pas ou difficilement (réactions secondaires). Cela jette un peu plus la confusion générale, sur le plan informationnel et énergétique dans un corps déjà malade. En définitive, ce qui est essentiel dans le fonctionnement de l’organisme, ce ne sont pas les structures moléculaires mais leur information. La biologie devient informationnelle.
Jacques Benvéniste a déjà démontré qu’en mémorisant le signal moléculaire dans l’eau pure, c’est-à-dire son information, celle-ci restituait l’effet biologique de la molécule matérielle. La bio-électronique est objet et instrument de simplification. Elle agit sur les fonctions globales et supérieures du corps. – La bio-électronique explique en partie que l’ordonnancement de notre corps physico-chimique et moléculaire dépend surtout du fonctionnement et de l’échange électronique et protonique dans tous les milieux hydrique du corps (sang, salive, urine, lymphe, eau intra et extra cellulaire). Nous montons-là d’un degré dans l’immatérialité de ce fonctionnement, car à ce niveau déjà, tout devient de plus en plus insaisissable et évanescent à l’œil humain. Nous entrons dans l’univers de la physique quantique où les lois spatio-temporelles de notre univers physique macros-copique n’ont plus cours.
Nous constatons parfaitement en bio-électronique que toute nos réactions métaboliques et physico-chimiques et de ce fait nos structures immunitaires, dépendent essentiellement des flux électroniques et protoniques, particules provenant de l’univers quantique dont les supports sont les milieux hydriques de l’organisme. D’où l’importance de la qualité de l’eau dans le fonctionnement bio-électronique de notre corps.
Rien ne sert d’absorber des compléments nutritionnels ou des aliments bios si nous n’avons ni la richesse électronique nécessaire ni les bons paramètres électriques et de ce fait l’énergie vitale électro-négative pour métaboliser les substances ingérées. Notre corps restera inerte, ne pourra les assimiler et sera incapable de redémarrer.
Il est extraordinaire d’observer, qu’à partir du moment ou notre terrain bio-électronique est sur les coordonnées de la parfaite santé, l’édifice du fonctionnement métabolique se redéfinit suivant une hiérarchie d’informations se déversant en cascade harmonieuse jusqu’aux fonctions les plus simples. L’intelligence incommensurable du corps faisant le reste. Il est vain de vouloir «bidouiller» le fonctionnement des molécules et intervenir à ce niveau. C’est la légende du mythe de Sysiphe, c’est-à-dire vouloir remonter une pierre à flanc de montagne et qui « redéboule » indéfiniment. C’est réparer une pièce en panne d’un moteur, alors que c’est la carte de gestion électronique qui est défaillante. « L’essentiel est invisible à nos yeux » a écrit Saint-Exupéry. Il est donc vrai, comme nous l’enseigne la Tradition, que les choses visibles sont faites de choses invisibles et que ces dernières ordonnent et commandent les choses visibles.
C’est précisément une des caractéristiques de la bio-électronique, à travers des particules comme le proton et l’électron, que d’investir le domaine de la physique quantique et de rejoindre les mystères de la vie bien au-delà des lois physiques du monde dit réel et matériel. La Métaphysique de la Bio-électronique. – La science ne comprendra rien de la vie (nous ne savons même pas fabriquer 1 cm d’herbe) tant qu’elle n’y intégrera pas son souffle, sa puissance, son intelligence et son énergie. Les électrons et les protons de notre corps et son support, l’eau, sont les portes communicantes avec ces mondes invisibles situés dans une matrice d’espace et de temps d’où viennent les forces de vie, leur perfection et leur harmonie.
L’électron est la particule magique qui assure l’interface entre notre univers dit physique (qui n’est qu’une simple image construite virtuellement par nos cinq sens) et ces mondes invisibles provenant de «l’outre-espace». Il n’appartient pas à notre univers. Il structure la cohérence de la vie dans la matière. C’est lui qui, par ses échanges et ses propriétés électromagnétiques, règle et régit la construction des système atomique et moléculaire de toute la matière avec une perfection et une intelligence jamais mises en défaut.
Personne n’a vu d’électron, sinon ses traces. Il est à la fois ondes et corpuscule (expériences des fentes de Young), il dématérialise et se rematérialise en amplifiant le signal électronique (effet tunnel), il est intimement relié avec les autres électrons, il connaît immédiatement et instantanément la position et l’état des autres électrons avec lesquels il échange des informations (expériences d’Alain Aspect en 1982).
De ceci il découle que dans toutes ces expériences nous avons la nette impression que l’électron sait qu’on l’observe. Il est doué de propriétés « cognitives » et il adaptera son comportement en fonction de l’observateur. La réalité observée est liée au point de vue adopté par l’observateur. Entre l’observateur et l’électron il semble exister un dialogue créatif qui transmute l’état électronique en une réalité déterminée par l’observateur. Jean Guitton écrivait : « C’est l’acte même d’observation et la prise de conscience qu’il entraîne qui, non seulement infléchissent la réalité, mais la déterminent. » L’électron souligne avec éclat l’évidence d’une liaison intime entre l’esprit et la matière, étant entendu que c’est cette Conscience-Esprit qui détermine notre réalité. Il n’y a ni hasard ni fatalité.
La science de la bio-électronique explique les chemins que prend tout le système protonique et électronique de notre corps pour maintenir harmonieusement son équilibre métabolique et vital. Nous voyons comment les organismes vivants introduisent cette vie au cœur de leur construction physico-chimique. C’est l’électron « qui-sait-tout » qui porte le message informationnel provenant de ces mondes totalement immatériels (champs de forme, monde de la pensée…) et diffuse sa perfection à travers la qualité de l’eau. Le miracle de l’eau est là.
Finalement, l’électron ne serait-il pas autre chose que cette entité qui nous ouvre les portes communicantes de notre vie incarnée vers les premières marches et les magnificences des mondes spirituelles ? Mais ceci est une autre histoire !